Rigaud, 1881 : Chrétien, — dans le patois des marchands juifs. Râler le goye, tromper le chrétien. — Les marchands forains, mais principalement ceux du Midi, ont donné le nom de goye à l’acheteur doté d’une bonne tête d’imbécile.
La Rue, 1894 : Chrétien, dans l’argot des juifs. Râler le goye, tromper le chrétien.